La liste étant arrivée en tête n’étant pas parvenue à totaliser plus de 25% des inscrits, il y aura donc un second tour sur le canton de Colombes-2. S’opposeront donc dimanche 29 mars les binômes suivants :

– Mme Isabelle DAHAN / M. GUERIT (liste PS-PRG-GE-FD)

– Mme CAULLERY / M. REVILLON (liste UMP-UDI)

Le Parti Socialiste sera donc au second tour de ces élections départementales !

Dimanche 22 mars, vous serez appelés à renouveler le Conseil Départemental des Hauts-de-Seine. Le département, c’est votre vie quotidienne. En effet, dans les compétences du département on retrouve le logement social, les crèches, les maisons de retraite, l’action sociale, les collèges ou encore la voirie. Le financement du conseil départemental représente également une part importante dans la renovation ou la construction d’équipements publics.

Ne laissez pas aux autres le soin de choisir pour vous! Votez dès le 22 mars pour faire du département le plus riche de France, le département le plus juste. Dimanche 22 mars, votez pour Isabelle DAHAN et Alexis GUERIT.

Bulletin de vote Isabelle DAHAN – Alexis GUERIT

Pour connaître votre bureau de vote, rendez-vous sur : http://www.bois-colombes.com/decouvrir/elections.php

Pour faire une procuration, rendez-vous sur : /guide-des-procurations/

Isabelle Dahan et Alexis Guérit, candidats aux élections départementales sur le canton de Colombes-2, ainsi que leurs suppléants, Anne-Gaëlle Courty et Franck Puygrenier, participeront à un meeting départemental lundi 16 mars à 19 h à Boulogne-Billancourt. Ce meeting se déroulera en présence de Stéphane LE FOLL, porte-parole du Gouvernement et Ministre de l’Agriculture, et de l’ensemble des candidats socialistes des Hauts-de-Seine.

Meeting départemental le 16 mars à 19h à Boulogne-Billancourt

La charte d’engagement est consultable sur le site d’Osez le Féminisme 92 : http://osezlefeminisme92.fr/2015/03/interpellation-des-candidat-es-aux-elections-departementales/

Le 8 mars prochain sera comme chaque année la Journée internationale de lutte pour les droits des Femmes. La Fédération socialiste des Hauts-de-Seine souhaite à ce titre rappeler son attachement au combat pour l’Egalité des droits entre les Femmes et les Hommes partout dans le monde. Les femmes sont les premières victimes de cette crise mondiale économique et sociale et leurs droits sont les premiers attaqués, sacrifiés sur l’autel de l’obscurantisme et des conflits armés.

En France, depuis le retour de la Gauche au pouvoir, la lutte pour les droits des Femmes a fait l’objet d’une véritable mobilisation fruit d’un volontarisme politique sans précédent qui a débouché notamment sur la loi sur l’égalité réelle du 4 août 2014 renforçant les obligations des entreprises en matière d’égalité salariale, et faisant entrer l’égalité professionnelle dans le droit commun de la négociation salariale.

Les droits des femmes ont également été renforcés : gratuité de la contraception pour les mineures, remboursement de l’IVG à 100%, suppression de la notion de détresse dans la Loi Veil… Quant aux luttes contre les violences faites aux femmes, elles font l’objet d’un plan d’action pragmatique décliné en obligations juridiques pour les éradiquer par le biais de la création de 1650 solutions d’hébergement, la généralisation du  téléphone d’urgence pour les femmes en grand danger,  le renforcement de l’ordonnance de protection pour les mesures d’éloignement immédiates du conjoint…

Rappelons que 500 000 femmes sont violentées au sein du ménage, qu’une femme meurt encore tous les 2 jours et demi sous les coups de son compagnons et que 75000 femmes sont violées chaque année. Le projet de loi sur l’abolition de la prostitution fait évidemment parti de cette volonté systémique de mettre fin aux violences contre les femmes.

Evoquons également le futur scrutin des élections départementales, des 22 et 29 mars prochain, premier scrutin bi-paritaire qui vise à établir la parité absolue dans les Conseils Départementaux à l’instar de la Loi Jospin de 2000 et rappelons cette phrase de notre camarade Jeanne Deroin, prononcée en 1849 :
“Une Assemblée législative entièrement composée d’hommes est aussi incompétente pour faire les lois qui régissent notre société, composée d’hommes et de femmes, que le serait une Assemblée composée de privilégiés pour discuter les intérêts des travailleurs, ou une assemblée de capitalistes pour soutenir l’honneur du pays.”

Le Socialisme est un féminisme, gageons qu’un jour, cette Journée Internationale consacrée aux droits des femmes n’ait plus de raison d’être et rappelons cette phrase du Président Hollande :

“La liberté et la dignité des Femmes, ce n’est pas l’engagement d’une journée, ce n’est pas même celui d’une année. C’est celui de tout un mandat exercé au nom du peuple français”.

Nadège AZZAZ, Secrétaire fédérale à la Citoyenneté et à l’Egalité

Les droits des femmes : un combat socialiste

Avec l’arrivée de Claude Bartolone, l’Assemblée nationale s’est dotée de règles plus justes et plus transparentes d’attribution de ce qu’il est convenu d’appeler « la réserve parlementaire ». Chaque député dispose maintenant d’un droit de tirage de l’ordre de 130 000 € (valeur 2014) qu’il peut affecter à des organismes sociaux, sportifs ou autres de sa circonscription. La liste des bénéficiaires de ces crédits est désormais publiée chaque année par l’Assemblée Nationale [1]. Cela répond ainsi à un besoin de transparence qui faisait cruellement défaut jusqu’ici.

La lecture de ce palmarès 2014 pour notre département des Hauts de Seine suscite quelques commentaires, et plus particulièrement pour Jacques Kossowski, député UMP de notre circonscription (Bois-Colombes, Courbevoie, La Garenne-Colombes).

On constate que chaque élu (souvent également maire d’une commune de sa circonscription) affecte la majorité de ses crédits à sa ou ses  communes. Toutefois, la quasi totalité de ces députés, ont également attribué à diverses associations de leurs circonscriptions des montants relativement substantiels qui viennent conforter des trésoreries souvent à la peine.

Sébastien Pietrasanta (PS) a ainsi distribué 70 000 € à une vingtaine d’associations d’Asnières-sur-Seine ou de Colombes. Neuilly-sur-Seine  a vu ses associations sportives sponsorisées à hauteur de 128 000 € c’est à dire la quasi totalité du budget alloué à son député-maire, Jean-Christophe Fromantin (UDI). A noter que Patrick Balkany, député-maire UMP de Levallois-Perret est absent de la liste. Erreur d’aiguillage semble-t-il, car il aurait demandé que la totalité de ses droits soit affectée au système de vidéosurveillance de Levallois (ce qui n’est pas l’objet de ce budget, mais à Levallois on est habitué aux acrobaties financières…).

Et notre député, lui,  qu’a-t-il fait de sa réserve ?

Pour l’année 2014, comme pour l’année 2013, aucune association n’est parvenue à obtenir le soutien notre député. Seules les communes de Courbevoie et La Garenne-Colombes, ont été honorées pour un total de 135 000 € par Jacques Kossowski :

• Une subvention d’un montant de 80 000 € à la mairie de Courbevoie pour « le réaménagement de l’ancienne trésorerie municipale en locaux pour le département Vacances/Accueil/Loisirs» de la mairie.
• Une subvention d’un montant de 55 000 € à la mairie de La Garenne-Colombes pour « le réaménagement de la cour et l’installation d’un ascenseur à l’école élémentaire Ernest Renan».

Notre député a sans doute estimé que la fiscalité locale élevée de Bois-Colombes (Bois-Colombes pratique le taux de taxe d’habitation la plus élevée des Hauts-de-Seine) et que l’attribution de l’an dernier le dispensaient de tout effort… Pourtant, ce ne sont pas les besoins de financement qui manquent dans notre commune, comme pour la Philotechnique, association plus que centenaire en difficulté dispensant des formations variées. Le député UMP de Boulogne-Billancourt, Thierry Solère, lui , n’a pas oublié de soutenir la trésorerie de sa Philotechnique locale. M. Révillon aurait-il eu quelques scrupules à tendre sa sébile à son collègue Courbevoisien ?

Encore une fois, force est de constater que Bois-Colombes est absent de la fête !

[1] http://www2.assemblee-nationale.fr/reserve_parlementaire/plf/2014

Communiqué du groupe socialiste, républicains et apparentés (PSR) au Conseil régional d’Île-de-France

Le groupe PSR à la Région Île-de-France demande que cette dernière définisse une stratégie d’économie circulaireenglobant l’ensemble des départements franciliens. “La région est la bonne échelle pour répondre aux enjeux territoriaux de l’économie circulaire : mettre en réseau les acteurs, structurer des filières et coordonner les initiatives à l’échelle d’un bassin économique, voilà un défi pour la 1ère région économique française” indique Gilles-Maurice Bellaïche, président du groupe PSR.

Cette initiative s’inscrit dans la continuité de nombreuses initiatives régionales et gouvernementales, en matière de transition énergétique, et dans le cadre de la préparation de la Conférence Climat qui se tiendra en Île-de-France, à Paris-Le Bourget en décembre 2015. Cette stratégie viendra compléter et amplifier l’initiative de la ville de Paris qui organisera en mars prochain ses États généraux de l’économie circulaire à l’échelle de la métropole parisienne.

« Économie du durable plutôt que du jetable », « du partage plutôt que de l’appropriation », l’économie circulaire est le point de rencontre entre respect de l’environnement et création de nouveaux emplois non délocalisables. C’est également un levier concret pour atteindre une croissance durable.

L’enjeu pour les entreprises est de produire à moindre coût, en réutilisant des ressources existantes – comme dans le BTP -, produire des biens plus durables en utilisant moins de ressources, ou encore de promouvoir une économie de l’usage plutôt que de la propriété

Le potentiel d’emplois en Ile-de-France, région d’innovation et vivier de l’économie sociale et solidaire, a été estimé entre 70 000 et 130 000 emplois, tous secteurs confondus[1], les plus prometteurs étant le BTP, le textile, la filière bois, l’automobile ou encore l’informatique.

« Aujourd’hui, les déchets ménagers et autres remblais du BTP de la zone dense sont presque intégralement dispatchés sur les autres départements d’Île-de-France, dans les espaces ruraux ou périurbains. La nécessité de limiter les déchets et de favoriser leur réemploi sera renforcée par le chantier du Grand Paris qui générera plus de 60 millions de tonnes de remblais.

L’économie circulaire, c’est aussi une façon de rendre du pouvoir d’achat aux consommateurs qui ont bien compris l’intérêt de recycler leurs déchets ou d’acheter d’occasion, mais aussi de partager des biens et des services, plutôt que de les acheter. On le voit avec le succès d’Autolib ou des services de location en ligne : l’avenir est à l’économie du partage! » rappelle Aurore Gillmann, Conseillère régionale PSR spécialisée sur les questions environnementales.

Forte de ses interventions en matière de développement durable et de ses compétences en matière de développement économique, d’innovation, de formation, de transports et d’aménagement du territoire, la Région Île-de-France est l’échelon pertinent pour élaborer une stratégie d’économie circulaire qui permettrait de renforcer les liens entre la zone dense et les espaces périphériques.

D’ailleurs, la Région Île-de-France promeut depuis plusieurs années les principes de l’économie circulaire dans plusieurs de ses dispositifs économiques, par son soutien aux circuits courts, aux bio-parcs pour les entreprises innovantes, aux ressourceries / recycleries franciliennes, ou encore avec sa stratégie régionale de méthanisation ou son plan de lutte contre le gaspillage alimentaire.

Les initiatives existent. Il s’agit de les développer, de les accompagner dans le cadre d’une stratégie cohérente et coordonnée à l’échelle de l’ensemble du territoire francilien. Cette stratégie sera définie d’ici le second semestre 2016, à l’issue d’une concertation avec l’ensemble des acteurs et des territoires franciliens concernés, et d’une première phase de diagnostic qui s’opèrera dès 2015.

[1]   Projection basée sur les travaux du Groupe de travail sur l’économie circulaire de la Commission européenne présentés en novembre 2012

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La Fédération Socialiste des Hauts-de-Seine témoigne tout son soutien aux candidats socialistes aux élections départementales du canton de Colombes 1, Fatoumata SOW et Malek BENBELAID.

Elle condamne fermement les propos insupportables tenus à leur encontre sur la page Facebook « Colombes Bleu Marine » qui, au travers d’une traduction hasardeuse, insulte la candidate de « jeune chamelle » et le candidat remplaçant, d’ « Arabe de service ».

« Au-delà du caractère évidemment raciste de ces propos qui tendent à renvoyer ces candidats à leurs origines, le sexisme évident qui en découle doit être dénoncé avec la plus grande vigueur » souligne Nadège AZZAZ, Secrétaire fédérale à la citoyenneté et aux droits des femmes. Fatoumata Sow, élue de la République Française, est attaquée en tant que Femme d’origine africaine, son prénom étant traduit de manière hasardeuse par un quolibet dégradant.

Cela montre le véritable visage du Front National, parti d’extrême-droite qui méprise les valeurs de la République. En effet, si l’exécutif du Front National tente de lisser son image, ses soutiens locaux témoignent toujours du caractère xénophobe et réactionnaire de ce mouvement.

Les socialistes des Hauts-de-Seine se réservent le droit d’y donner une suite judiciaire pour faire respecter la République et l’ensemble des citoyens qui la compose.

Contact : Lynda BELHADI, Secrétaire fédérale aux médias et à la veille politique (lyndabelhadi@yahoo.fr)